L’ACBVLB pourra entamer la deuxième phase du projet de restauration du lac Bromont puisqu’elle vient d’obtenir un financement de 150 000$ du Ministère de l’Économie et de l’Innovation (MEI) dans le cadre du Programme Innovation. L’appui financier du MEI permettra de poursuivre la recherche et le développement des connaissances en lien avec l'utilisation du Phoslock®. Son utilisation étant une première au Québec, il sert ainsi de projet pilote pour le Ministère de l'Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques (MELCC) afin de permettre son éventuelle utilisation dans d’autres lacs du Québec.
La première phase du projet de restauration achevée en 2017-2018, à laquelle le même ministère avait accordé 50 000 $, consistait à réaliser l'application du produit Phoslock®, à valider le protocole de suivi post traitement et à effectuer la première année de suivi de ses impacts et de son efficacité.
Pour la deuxième phase du projet, sous la supervision scientifique de la professeure émérite au département des sciences biologiques de l’UQAM, Dolores Planas, l’ACBVLB continuera à documenter la réponse du lac au traitement Phoslock® à moyen terme, son efficacité à réduire la charge interne de phosphore et à évaluer l'impact de certains facteurs pouvant affecter la pérennité du traitement. Le professeur agrégé au département de chimie de l’Université Laval, Raoul-Marie Couture, se joindra également au projet ainsi que plusieurs autres partenaires incluant le chercheur Richard Carignan, Claire Vanier, la ville de Bromont et le MELCC.
«Le gouvernement du Québec a créé le programme Innovation pour appuyer les entreprises et organismes québécois dans la réalisation de projets novateurs. C’est donc avec beaucoup d’enthousiasme que nous accordons notre confiance à Action Conservation du Bassin du lac Bromont dans la poursuite de ses recherches en lien avec le produit Phoslock®. Nous sommes persuadés que leur initiative permettra d’assurer la performance optimale du produit dans le lac Bromont et, ultérieurement, dans d’autres plans d’eau du Québec aux prises avec la problématique d’eutrophisation », a mentionné Mme Isabelle Charest, ministre déléguée à l’Éducation, ministre responsable de la Condition féminine et députée de Brome-Missisquoi.
La première phase du projet de restauration achevée en 2017-2018, à laquelle le même ministère avait accordé 50 000 $, consistait à réaliser l'application du produit Phoslock®, à valider le protocole de suivi post traitement et à effectuer la première année de suivi de ses impacts et de son efficacité.
Pour la deuxième phase du projet, sous la supervision scientifique de la professeure émérite au département des sciences biologiques de l’UQAM, Dolores Planas, l’ACBVLB continuera à documenter la réponse du lac au traitement Phoslock® à moyen terme, son efficacité à réduire la charge interne de phosphore et à évaluer l'impact de certains facteurs pouvant affecter la pérennité du traitement. Le professeur agrégé au département de chimie de l’Université Laval, Raoul-Marie Couture, se joindra également au projet ainsi que plusieurs autres partenaires incluant le chercheur Richard Carignan, Claire Vanier, la ville de Bromont et le MELCC.
«Le gouvernement du Québec a créé le programme Innovation pour appuyer les entreprises et organismes québécois dans la réalisation de projets novateurs. C’est donc avec beaucoup d’enthousiasme que nous accordons notre confiance à Action Conservation du Bassin du lac Bromont dans la poursuite de ses recherches en lien avec le produit Phoslock®. Nous sommes persuadés que leur initiative permettra d’assurer la performance optimale du produit dans le lac Bromont et, ultérieurement, dans d’autres plans d’eau du Québec aux prises avec la problématique d’eutrophisation », a mentionné Mme Isabelle Charest, ministre déléguée à l’Éducation, ministre responsable de la Condition féminine et députée de Brome-Missisquoi.